Traitées avec le principe japonais du Komorebi, toute l’attention est portée ici aux plus infimes beautés de la Nature, la lumière du soleil qui filtre au travers des feuilles des arbres, et les effets que le soleil provoque sur le sol filtré par les arbres, mais aussi la lumière vue entre les arbres et un rideau de lumière, inspirant et spécial.
Ces tondos de grandes dimensions, 90 cm de diamètre, sont exécutés sur toile, avec une technique qui ne permet aucun retour en arrière, alla prima, pour traduire la concentration végétale.
Le cercle renvoie à l'idée de perfection, et dialogue avec les œuvres allégoriques du passé .
Ces «Forêts» sont traitées en noir et blanc, ou camaïeux de bleus dans une densité immersive.